Aujourd'hui, nous voulons partager avec vous un article d'opinion de notre fondatrice, Marta Alberch, publié il y a quelques jours dans Diari d'Andorra, sur l'impact des marchés de seconde main sur l'empreinte hydrique.
Il y réfléchit sur le dernier VideDressing de la Massana où environ 5 000 pièces ont été vendues ou échangées entre les mains, la grande majorité d'occasion.
Sommes-nous suffisamment conscients du coût de chaque nouvelle chemise que nous achetons ? Sait-on combien de litres d'eau sont consommés pour fabriquer un nouveau pantalon ?
On nous raconte tout cela dans cet article intitulé « L'impact de 5 000 pièces » et qui commençait ainsi :
"Ce week-end dernier, une nouvelle édition de Vide Dressing de la Massana a eu lieu, un marché de vêtements et d'accessoires d'occasion qui a fini par devenir un espace de référence où vous pouvez prolonger la durée de vie des pièces textiles et améliorer l'impact que ce secteur a sur l'environnement. Selon les données de Greenpeace, la production de vêtements a doublé depuis 2000 et augmentera de 63% d'ici 2030. On sait que l'industrie textile est la deuxième plus polluante (seulement dépassée par l'industrie pétrolière) produisant 8% d'émissions de CO2. Et le 25% des vêtements finit à la poubelle. Faisons un peu de calcul."
Si vous voulez connaître les calculs et le résultat, vous pouvez lire l'article complet en cliquant sur ici
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